Les solutions logiciels et matériels de nos partenaires

Notre WMS EGO possède des connexions avec des solutions informatiques du marché, ainsi qu’avec des services et équipements extérieurs. Grâce à elles, les échanges d’informations bénéficient d’une grande fiabilité et permettant notamment d’accroître vos performances logistiques.

Connecter la suite WMS EGO à des solutions logiciels

Ces dernières années, les offres de solutions informatiques métier et de gestion (plateforme Web, place de marché, ERP, logiciel de transport, solutions expertes…) ont connu une nette évolution.

Pour disposer dans l’entreprise d’un système d’information fiable et robuste, ces solutions ont besoin d’être « raccordées » à l’informatique de l’entrepôt. Par exemple, elles peuvent être utilisées pour:

• Récupérer des informations sur un état de stock ou une confirmation d’expédition,
• « Redescendre » dans l’entrepôt les informations sur les réceptions annoncées ou le portefeuille de commandes,
• Etc.

SITACI a sélectionné ces dernières années et mis en place des connecteurs avec des solutions partenaires répondant à ces enjeux d’interfaçage, à savoir la fiabilité et la disponibilité de l’information terrain.

Connecter la suite WMS EGO à des solutions matériels

L’offre de matériel et équipements (lecteur de code barre ou RFID, tablettes durcies, PDA, étiqueteuse et imprimantes) s’est considérablement amélioré ces dernières années. Elles s’est également démocratisée avec :

• Les caméras vidéo,
• Les scans 3D (pour l’optimisation du remplissage des remorques),
• Les pupitres mobiles intelligents et les cobots,
• Les antennes RFID (pour le Pick To Light ou les inventaires permanents),
• Les balises BLE (balise Bluetooth pour la localisation intérieure),
• Les lunettes de réalité virtuelle (affichage tête haute),
• Les lunettes de réalité augmentée (maintenance assistée),
• Les systèmes UWB (Ultra Wide Band) pour localisation indoor (via tag).

Cette offre technologique est bien évidemment applicable aux métiers de l’intralogistique. Cependant, même si ces nouveaux matériels permettent des gains de productivité et de fiabilité conséquents, ils ne sont pertinents que dans certaines conditions précises et pour certains cas d’usage.

D’ailleurs, certains intégrateurs de matériels, comme la société TIMCOD basée en France ou plus récemment des cabinets de conseil, ont développé une expertise pour accompagner sur le choix des meilleurs technologies en fonction de cas métiers bien définis.

Les freins dans l'interconnexion d'un WMS a des matériels et équipements dans l'entrepôt

Même si l’offre technologique est devenue pléthorique, hyperconcurrentielle et avec une baisse importante des prix, elle rencontre néanmoins des obstacles pour se concrétiser dans l’entrepôt.

Nous avons détecté 4 freins principaux .

1.  Le facteur humain : les réticences peuvent venir de quelques personnes n’aimant pas le changement. Il sera peut-être difficile de faire changer leurs habitudes, face à d’autres ayant un profil de zappeurs et plus friands de nouveautés technologiques. D’ailleurs cela nécessitera une très grande simplicité de prise en main des équipements connectés au WMS. Cela peut être, par exemple, grâce à des environnements proches en ergonomie de celui d’un smartphone personnel.
2.  Les incompatibilités techniques avec des systèmes d’information déjà en place : l’architecture des systèmes informatiques ne permet pas un interfaçage simple avec ces nouvelles technologies.
3. L’accès au marché pour les startupers : les innovations produits ou services sur ces marchés sont majoritairement portées par des startupers. Ils sont dans l’incapacité de les faire intégrer rapidement chez un client, qui plus est dans des systèmes d’information vieillissants. Malheureusement, les coûts et les temps d’accès au marché sont très (trop) longs pour ces jeunes pousses et sont souvent incompatibles avec leurs moyens disponibles (financiers, compétences, réseaux).
4. Les coûts supplémentaires perçus et la difficulté à estimer un ROI (Retour sur Investissement) : la logistique est souvent perçue comme un centre de coût. Pour acquérir un parc de nouveaux matériels « dernier cri », il sera alors nécessaire pour le responsable logistique de raisonner aussi en retour sur investissement.